Février un mois hivernal, rien de plus banal me direz-vous, si ce n'est qu'on ne sait trop sur quel pied danser. Tantôt sec et piquant à qui laissera pointé le bout de son nez, tantôt presque clément, avec ses moments de redoux, et pour finir, parfois fâcheux avec ses pluies quasi automnales ! Bref, une météo imprévisible régie par les lois du chaos qui me fait dire que rien n'est ni tout noir, ni tout blanc, en d'autre terme, voir par extension et d'un point de vue tout à fait optimiste, le possible est roi.
Alors gardons espoir, rêvons, fantasmons à l'élaboration d'une société meilleure et oublions ce réalisme incontournable dont nous assomment les médias. Le ton est donné non !
Et d'ailleurs à propos des intermittents qu'en est-il ? On a connu pire, il semblerait qu'il y ait de bonnes choses qui se profilent à entendre Aurélie Filippetti, notre ministre de la culture, qui par « ses mots bleus » dixit (le monde) rend les intermittents heureux. En effet la ministre de la culture rappelle à tous, que ce régime d'assurance chômage spécifique n'est pas un système pour les privilégiés mais pour les gens précaires, en ce sens il sert à compenser la précarité de l'activité artistique. Pour en bénéficier les artistes doivent réaliser 507 heures en dix mois et demi (annexe 10) et les techniciens 507 heures en dix mois (annexe 8). Certes la ministre se doit de renforcer les contrôles et limiter les abus, mais il ne faut pas pour autant que quelques dérives aboutissent à stigmatiser tout un dispositif. Car celui-ci malgré ses imperfections permet à des compagnies, des collectifs, des théâtres et festivals d'exister, donc crée de l'emploi.
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